"J'allais aux putes autrefois, par crainte de la solitude. Le genre humain s'emboîte de la même façon, à Dakar, Manille ou Londres ; l'amour physique enseigne qu'on est de la même famille.
Après nos nombreuses nuits de noces, avec Marisa, on parla d'engagement à perpétuité lors de mon dernier voyage à Salvador.
C'était à l'époque des eaux de mars, lorsque l'été dégringole en averses ; une vraie débâcle. Après le déluge, l'été ne revient plus."
Détails du livre
-
Éditeur
-
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
-
Nombre de pages
224 -
Thème
-
Collection